Premier cas enregistré d’une molette intéressante
Razer a sorti la nouvelle version de sa souris filaire ultra personnalisable, la Basilisk V3. Au premier abord, on dirait une reprise de la Basilisk V2 de l’an dernier – les clics pointus mariés à des courbes lisses, le repose-pouce prononcé, le mélange de noir et de RGB – mais il y a suffisamment de différences dans le modèle V3 pour qu’il puisse être considéré comme une souris bien différente.
Tout d’abord, le capteur. Augmentez la sensibilité, que ce soit via le bouton dédié sur la souris ou via le logiciel Razer Synapse, et vous avez la Basilisk la plus rapide jamais sortie. Elle est dotée d’une nouvelle version du capteur optique Focus+ déjà présent sur la Basilisk V2, qui vient augmenter le DPI de 20000 à 26000. C’est un peu trop rapide à mon goût, mais après quelques jours d’utilisation de la Basilisk V3, les mouvements semblent systématiquement précis et contrôlés, même lorsque le DPI est plus bas.
Encore une fois vous avez un total de 11 boutons programmables, ainsi que la possibilité de créer plusieurs profils de mapping dans Synapse et de passer de l’un à l’autre via un bouton situé sous la souris. Cette fois, cependant, Razer s’est débarrassé de la palette amovible pour le pouce à côté des deux principaux boutons pour le pouce, la rendant fixe. J’appréciais l’apparence et les sensations offertes par la palette de la Basilisk V2, mais celle-ci est définitivement meilleure : le fait que le design précédent se fixait à la souris via un aimant n’était pas idéal, et pourquoi auriez-vous de toute façon envie de vous débarrasser d’un bouton aussi facile d’accès ? La Basilisk V3 arrête de se poser des questions sur des sujets aussi improbables et donne à ce bouton le statut fixe et intégré qu’il mérite.